Le très célèbre et tristement pathétique nous

 

 

Le très tristement célèbre et pathétique Nous

ça fait un an maintenant que tu m’as laissée… je crois que je n’ai toujours pas fait le deuil de notre relation car grâce à toi je revivais, j’oubliais ce qu’est la noirceur de l’Humain, l’égoïsme profond qui anime chacun de nous lorsqu’on est seul et désemparé et que l’on veut entraîner tout le monde dans sa douleur

Ta joie de vivre contagieuse, ta soif d’aventures et ton envie d’apprendre, ton ouverture aux autres,  ont su remplir le train-train de ma vie et son lot renouvelé  de rien

Oui tu m’as rendue meilleure, tu faisais de moi une personne que j’aimais, qui croquait la vie et les pommes dans l’Eden euphorique de l’A.

Depuis (et comme avant nous d’ailleurs)  j’erre lamentablement dans un quotidien noir et sans saveur pour redevenir quelqu’un de banal, d’anonyme

Je n’ai pas refait l’amour

Mon désir est parti avec toi, avec le Nous tristement rose

Peut être que je me plais dans cette rêverie douloureuse qui nourrit encore mon cerveau malade masochiste ; peut être que j’ai peur de quitter ma maison et sa triste vie, retrouver un autre Nous dans des bras qui me feraient à nouveau tant de joie (et autant de mal?????)

aaaaarrrgh j’en ai marre de réfléchir.

je pourrai prendre exemple sur ton audace (et la chance qui va avec !! ??)

en suis-je capable?

Publié dans : Non classé | le 26 juillet, 2010 |Pas de Commentaires »

Tes SMS comme des caresses… d’orties

 

23 mai 2009 / » (…) je pense qu’il ne faut pas que je réfléchisse trop pour ne pas prendre peur. J’ai simplement envie d’écouter mon coeur, de passer du temps avec toi, de te découvrir et de prendre notre temps. Tu me l’as déjà dit, on ne vit qu’une fois et et si je laissais passer la chance de vivre qq chose avec toi je le regretterai vraiment bcp (‘…)  »

 

23 juin 2009 / »… c’est dur de me coucher sans te sentir tout contre moi. Tu fais de ma vie une douce tempête d’émotions et de bonheur. Je suis tellement heureuse de t’avoir trouvée. Je ne veux jamais te perdre …  »

 

24 juin 2009 / »Bonsoir ma chérie. Je pense fort à toi, tu ne m’as quittée que depuis quelques heures et tu me manques déjà. (…) Ca ne me fait pas peur, parce que je me connais, je connais aussi la force des sentiments que j’ai pour toi. Pour moi tu n’es certainement pas une expérience ou un amusement, mais plutôt une vraie et belle histoire d’A. ^^ Au début j’étais hésitante, je ne savais pas vraiment où j’allais même si j’avais très envie d’y aller. Maintenant je le sais, je suis sûre de moi. Déjà quand on construit quelque chose sur des bases aussi solides que les nôtres on a toutes les chances que ça tienne… Je n’ai peur ni de la distance, ni de l’âge, ni des autres. Je veux juste continuer à découvrir le bonheur à tes côtés. (…)  »

 

26 juin 2009 / »(…) J’ai la naïveté de  croire que ce qui nous unit est si fort que deux petites années ne sont qu’une étape certes dure à passer mais largement réalisable si on fait toutes les deux les efforts nécessaires. Il faut que tu apprennes à me faire  confiance et à croire en la force des sentiments que j’ai pour toi (…)

 

3 juillet 2009 / » (…) bonsoir ma chérie, Ne t’inquiète pas je ne me sens pas vampirisée, je ressens la même chose que toi, le besoin de passer de vrais moments à tes côtés , sans faux semblants. (…)  »

 

 

 

 

 

Tu m’as quittée quand même…
 

Publié dans : Non classé | le 11 mai, 2010 |Pas de Commentaires »

masocat’

je ne jouis que par déveine dans la peine avec des chaînes

dans la souffrance ou dans la haine il n’a que là que la que je me démène

quand je vis des moments durs s’exprime alors ma nature

les éléments se déchaînent l’inspiration est dans mes veines

je crie, je pleure dans le délice buvant mes larmes dans le supplice

ma plume se fait généreuse sitôt que tu me rends malheureuse

j’ai beau raser les murs

rien ne me rassure plus que de me savoir sans armure

je suis donc atteinte d’un mal vicieux qui ronge mes sens

se succèdent des nuits blanches à des jours de somnolence

si toutefois je deviens gaie, si je ris devant mes couplets

c’est que l’espoir m’a envahie mais je ne suis pas plus épanouie

il n’ a qu’un pas à présent pour que la douleur fasse place

à nouveau larmes, cris et tourments…

le malheur est il mon audace ?

 

Publié dans : Non classé | le 28 juillet, 2009 |Pas de Commentaires »

face à face

certains fantasmes nous appellent

comme une cascade d’espoir

étranges, graves et tièdes

s’élevant en jets de couleurs

le soir tombé ils reflètent

tel un visage devant un miroir

et leurs forces décuplées entraînent

les êtres dans leur chute, sans peur

 

mais la nuit amère les réveillant

transpirants ils nous insomniaquent

et la caresse se fait serpent

tandis que son étreinte la masque

ne décelant les  ténèbres en face

camouflées sous un beau faciès

on ne se plait à voir dans la glace

que le beau sourire d’Héraclès

Publié dans : Non classé | le 27 juillet, 2009 |Pas de Commentaires »

ultimatum

rien qu’un sourire, un seul regard

un baiser furtif, une caresse à la va-vite

si ce n’est que quelques minutes et même si c’est un pari

tant pis s’il n y’a pas de suite

si elle prend mon corps pour en rire

si elle joue avec mon coeur et en fait un stalactite

tant pis s’il n’y pas de plaisir

je veux qu’elle m’aime avant de partir

car maintenant si elle me revient je ne saurai résister à son charme

et ce soir ou demain si elle veut recommencer

je ne pourrai renoncer à à cette femme

elle est si près je peux la toucher

maintenant si elle me revient je sais qu’elle saura m’envoûter

comment résister à l’étrange

comment calmer ce qui démange

mes regards lui parlent comme avant

mes sourires me veulent convaincants

maintenant si elle me revient

elle pourra être sûre d’être aimée

Publié dans : Non classé | le 27 juillet, 2009 |Pas de Commentaires »

le coeur à ses raisons…

un bisou sur ma bouche, là du rouge sur nos joues

bien avant que tu ne me touches dèja mon corps était fou

mais la vérité est farouche et éclabousse nos rêves

la raison nous révèle, s’étale sur notre parcours

frissons inconnus pourtant d’autres m’ont donné

mais pas comme toi tu l’as fait un peu de leur paradis

avec tellement d’envie et toi tellement d’amour

la patience remplace la folie et l’amour déçu éclate au grand jour

 

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Publié dans : Non classé | le 26 juillet, 2009 |Pas de Commentaires »

envie ou besoin, besoin d’envie ?

 

je n’arrive pas à travailler.

je vois ta mèche qui flotte devant tes yeux

ta fossette délicieuse et ton sourire coquin

ton petit cul danse dans ta jupe fuschia

tes baisers divins me goûtent avec passion

tes parents et tes chats m’accueillent d’un élan chaleureux

ton rire transperce la pièce d’un ravissement certain

ton intelligence me laisse sans voix

toutes ces petites choses qui font que c’est Toi j’en ai encore besoin

 

Publié dans : Non classé | le 25 juillet, 2009 |Pas de Commentaires »

rêves, Lâcheté et Réalité

Rêves, Lâcheté et réalité (1ère partie)

 

Malgré mes efforts pour t’oublier

les souvenirs sont les plus forts

je comprends que je t’aime toujours

et que je n’aurai plus sommeil

alors j’avale des cachets

je sors, je lis, je fais du sport

mais ton visage danse au petit jour

devant mes yeux jusqu’au coucher du soleil…

 

Descendre plus bas que terre j’y suis arrivée

Encore un pas de plus, l’abnégation me sauvera

Puisse un monde meilleur s’ouvrir à mes pieds

Rien ne me retient à présent ici-bas

Et me voici le corps vide d’aimer sans retour

Suppliant que tu abrèges cette douleur

Soit, je t’attendrai, mon amour

Il est des vérités qui ne sont pas faciles

Oh seuls comptent à présent dans mon coeur

Nos instants passés ensemble, Cécile.

 

 

 

 

 

 

 

 

Publié dans : Non classé | le 22 juillet, 2009 |Pas de Commentaires »

Psycho-cat

tu es en face je me régale ne change rien

tu lances la balle et je perds mes moyens

 

je ne t’ai pas pu venir avec ton air de ne pas y toucher

c’était comme dans un film où tout peut vraiment arriver

tu as changé ma vie mes yeux sont comme aveuglés

tu ne peux pas imaginer comme c’est bon de te regarder

 

je ne t’ai pas vu me fuir d’un pas léger un peu trop pressé

tout allait vite je n’ai pas deviné que ça sentait l’arnaque à plein nez

le parfum de l’A.  j’ai tellement voulu le humer…

 

je ne t’ai pas vu tenir mon destin dans tes mains comme un jouet

une fois tu m’as frolée maintenant je suis accro à en crever

ton corps gracieux et si « moelleux » ^^ me montre tout son savoir-faire

je jouis là n’en croyant mes yeux devant toi jouant la dame de fer

 

est-ce un jeu ? est-ce hideux ? mais qu’est ce que je peux bien y faire ?

ton charme, un rien qui s’évapore devine toujours comment me plaire

la moindre particule de ton corps flottant comme pour me satisfaire

bien sur je pourrai te dire tout ça en face

oh tu sais comme je peux être lâche

tu es Toi et c’est curieux comme j’aime me sentir sur Terre

Te désirer c’est merveilleux je jouis en mordant la poussière

Est-ce délicieux ou bien affreux tout ce que je peux bien taire

 

 

 

Publié dans : Non classé | le 19 juillet, 2009 |Pas de Commentaires »

monologue

t’accuser, te haïr… d’être lâche, de rêver, de rougir, de ne savoir l’aimer. Mourant à petit feu (mais tu ne lui en veux pas) vos moments ressemblent un peu à de terribles combats contre toi qui bafouilles puis trépignes et t’embrouilles. Là tes yeux s’illuminent de la voir si habile jonglant avec les verbes, renversant les pronoms, jouant de phrases subtiles et de conjugaisons. Puis elle se fait rieuse, les gens s’agglutinant, sa présence merveilleuse est d’un charme éloquent. La foule la suit partout telle une ombre amoureuse, tu l’envies presque aussi de lui être précieuse. Te cachant derrière, elle écoutant passionnée, tu connais ses week-ends ses sorties ses amis. Tu es là mais elle passe à côté, de toi, de cette méprise, il faut que tu l’oublies.

 

Publié dans : Non classé | le 18 juillet, 2009 |Pas de Commentaires »
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